Um basta à imigração-invasão
Para uma Europa que corre a suicidar-se - e com o Portugal "bom aluno" a querer estar na vanguarda - recomenda-se uma vista d'olhos no capítulo "Imigração", do programa desta agrupação "maldita" pela partidocracia antinacional francesa, o Front National de Le Pen. Para o texto completo do manifesto, ver aqui.
IMMIGRATION
A) CONSTAT
À l’origine de la plupart des maux dont souffre notre pays, la politique d’immigration menée depuis plus de trente ans par les gouvernements successifs a été constamment dénoncée par le Front National qui, dès sa création, a proposé toute une série de mesures qui n’ont en aucune manière cessé d’être d’actualité, et constituent l’un des fondamentaux de notre projet global.
Longtemps considérée comme « tabou », la question des flux migratoires est désormais considérée comme centrale par l’ensemble des observateurs économiques et politiques. Le mur du silence et du mensonge se fissure, même si l’opacité demeure la règle, en matière de surcoût et de statistiques de la délinquance, par exemple. C’est ainsi que la Cour des comptes relevait dans un rapport thématique publié en 2004 que « toute évaluation paraît impossible. Même le Parlement ne peut disposer d’éléments certains. Aucun ministère n’évalue précisément les dépenses qu’il effectue en faveur de l’accueil et de l’intégration des immigrants.»
L’ampleur des phénomènes induits par cette politique et l’accélération constatée ces dernières années apparaissent cependant très nettement en quelques chiffres qu’il convient de rappeler :
- 6 millions : c’est le nombre des nouveaux résidents installés en France depuis 20 ans (et non pas deux millions comme le prétendait, il y a peu de temps encore, l’INSEE).
- 400 000 à 500 000 : c’est le nombre officiel de nouveaux immigrés qui entrent chaque année sur le territoire national dont 300 000 en situation « régulière » selon l’OCDE.
- 40 millions : c’est le nombre d’immigrés extra-communautaires vivant sur le sol européen, selon un rapport du Parlement européen.
- 60 milliards d’euros : c’est le montant du déficit annuel dû à l’immigration si l’on se réfère à l’actualisation 2005 du rapport Milloz, jamais réellement contredit.
- 700 millions d’euros : c’est le coût annuel de l’Aide médicale d’État (AME) réservée auxétrangers en situation illégale.
- 25 % : c’est le taux moyen annuel de la population étrangère en milieu carcéral, un taux qui avoisine probablement les 70 % si l’on prend en compte toute la population d’origine immigrée.
- 5 % : c’est le taux d’étrangers qui entrent en France avec un contrat de travail, ce qui signifie que 95 % entrent sans.
- 50 % des bénéficiaires du RMI sont étrangers.
L’immigration est aujourd’hui d’origine planétaire. Elle peuple la France d’ayants droit pour qui, bien souvent, la seule affinité avec notre pays se limite aux avantages matériels qu’il leur procure. Cette immigration est poussée par le grand patronat pour qui elle est une délocalisation à domicile qui lui permet de compresser les coûts salariaux, et par la classe politique qui y voit une clientèle électorale facile. Aujourd’hui, les Français s’endettent pour financer des prestations sociales visant à répondre à la « misère du monde », avec pour conséquence les déficits permanents des comptes sociaux et les 2 000 milliards d’euros de dette publique qui menacent, à court terme, de faillite la Nation.
Il ne saurait évidemment être question pour nous, au moment où les faits nous donnent raison, où l’opinion publique se dessille et où nos adversaires tentent de s’emparer du problème sans pour autant y apporter de réponses, d’abandonner notre programme ni de lui en substituer un autre. La mise en oeuvre d’une politique réaliste d’inversion des flux migratoires demeure pour le Front National une priorité comme doit l’être, une fois réalisé le préalable de l’arrêt de toute nouvelle immigration, la mise en oeuvre d’une nécessaire politique d’assimilation de ceux qui respectent nos lois et nos coutumes, acceptent les devoirs qui découlent des droits accordés, et considèrent la France comme leur Patrie, à l’exception de toute autre.
B) MESURES
Nos propositions tiennent donc en cinq grands volets
1. Mettre en oeuvre une politique de dissuasion :
- Supprimer les « pompes aspirantes » en réservant les aides sociales diverses et les allocations familiales aux seuls Français et en réinstaurant, dans le cadre de nouvelles dispositions législatives, la préférence nationale pour les prestations sociales. Les cotisations de l’assurance Maladie et de l’assurance Chômage seront, ainsi, augmentées pour les étrangers à prestations équivalentes. Le RMI pour les étrangers ainsi que l’AME seront supprimés.
Gain estimé : 18,5 milliards d’euros
- Lancer une réforme du droit de la nationalité, en supprimant notamment la binationalité et l’acquisition automatique de la nationalité (celle-ci ne serait alors automatique que si l’on est de père ou de mère français). L’acquisition dépendrait alors de critères reposant sur la bonne conduite et le degré d’intégration. La déchéance de la nationalité pourra être prononcée par la juridiction concernée dans le cas de naturalisation acquise depuis moins de 10 ans et dans le cas de crime ou délit grave ayant entraîné une condamnation à plus de 6 mois de prison, non assortie de sursis.
2. Mettre en oeuvre une politique de contrôle des frontières :
- Rétablir nos frontières en sortant de l’espace Schengen et en dénonçant les traités qui transfèrent à l’Union européenne les compétences en matière d’immigration, de droit d’asile et de visa.
- Faire appliquer les mesures d’éloignement du territoire et la législation sur le séjour illégal des étrangers ; tolérance zéro pour les réseaux organisés d’immigration clandestine.
3. Mettre en oeuvre une politique de retour :
Gain estimé : 9 à 11 milliards d’euros
- Supprimer le regroupement familial qui, depuis 1974, a transformé l’immigration de travailleurs en immigration de peuplement.
- Réduire la durée de la carte de séjour de 10 à 3 ans, y compris pour ceux qui se trouvent actuellement sur notre territoire.
- Rétablir l’expulsion des délinquants multi récidivistes étrangers.
4. Mettre en oeuvre une politique de codéveloppement :
- Coupler le retour des immigrés avec l’aide à leur pays d’origine, proportionnelle à leur coopération en la matière. L’aide au développement pourrait alors être accrue en ciblant mieux les besoins des populations et en contrôlant l’utilisation des fonds.
- Prendre l’initiative d’organiser régulièrement une conférence euro-africaine réunissant les pays concernés afin de déterminer les besoins et de mettre en oeuvre les moyens destinés à fixer les populations attirées par les richesses de l’Europe, dans leurs pays d’origine.
5. Mettre en oeuvre une politique d’assimilation :
- Insertion de la politique d’immigration dans un cadre plus global. On ne s’assimile pas à un pays qui a oublié ses principes, ses valeurs et sa fierté. La politique qui sera initiée par le Président d’une République authentiquement nationale sera globale : c’est par le retour des valeurs familiales, la reconstruction d’une véritable instruction nationale, le rétablissement d’un service militaire volontaire de six mois, le respect du travail et le réapprentissage de la morale et de ce qui a fait l’histoire de France, que pourra s’opérer une réelle assimilation, avec les droits et les devoirs qu’elle implique.
- Refus du communautarisme et réaffirmation du principe de laïcité. Le principe de discrimination positive (préférence étrangère dans les faits) et ses effets pervers tels que certains volets de la Politique de la Ville seront supprimés.
Gain estimé : 3 milliards d’euros
IMMIGRATION
A) CONSTAT
À l’origine de la plupart des maux dont souffre notre pays, la politique d’immigration menée depuis plus de trente ans par les gouvernements successifs a été constamment dénoncée par le Front National qui, dès sa création, a proposé toute une série de mesures qui n’ont en aucune manière cessé d’être d’actualité, et constituent l’un des fondamentaux de notre projet global.
Longtemps considérée comme « tabou », la question des flux migratoires est désormais considérée comme centrale par l’ensemble des observateurs économiques et politiques. Le mur du silence et du mensonge se fissure, même si l’opacité demeure la règle, en matière de surcoût et de statistiques de la délinquance, par exemple. C’est ainsi que la Cour des comptes relevait dans un rapport thématique publié en 2004 que « toute évaluation paraît impossible. Même le Parlement ne peut disposer d’éléments certains. Aucun ministère n’évalue précisément les dépenses qu’il effectue en faveur de l’accueil et de l’intégration des immigrants.»
L’ampleur des phénomènes induits par cette politique et l’accélération constatée ces dernières années apparaissent cependant très nettement en quelques chiffres qu’il convient de rappeler :
- 6 millions : c’est le nombre des nouveaux résidents installés en France depuis 20 ans (et non pas deux millions comme le prétendait, il y a peu de temps encore, l’INSEE).
- 400 000 à 500 000 : c’est le nombre officiel de nouveaux immigrés qui entrent chaque année sur le territoire national dont 300 000 en situation « régulière » selon l’OCDE.
- 40 millions : c’est le nombre d’immigrés extra-communautaires vivant sur le sol européen, selon un rapport du Parlement européen.
- 60 milliards d’euros : c’est le montant du déficit annuel dû à l’immigration si l’on se réfère à l’actualisation 2005 du rapport Milloz, jamais réellement contredit.
- 700 millions d’euros : c’est le coût annuel de l’Aide médicale d’État (AME) réservée auxétrangers en situation illégale.
- 25 % : c’est le taux moyen annuel de la population étrangère en milieu carcéral, un taux qui avoisine probablement les 70 % si l’on prend en compte toute la population d’origine immigrée.
- 5 % : c’est le taux d’étrangers qui entrent en France avec un contrat de travail, ce qui signifie que 95 % entrent sans.
- 50 % des bénéficiaires du RMI sont étrangers.
L’immigration est aujourd’hui d’origine planétaire. Elle peuple la France d’ayants droit pour qui, bien souvent, la seule affinité avec notre pays se limite aux avantages matériels qu’il leur procure. Cette immigration est poussée par le grand patronat pour qui elle est une délocalisation à domicile qui lui permet de compresser les coûts salariaux, et par la classe politique qui y voit une clientèle électorale facile. Aujourd’hui, les Français s’endettent pour financer des prestations sociales visant à répondre à la « misère du monde », avec pour conséquence les déficits permanents des comptes sociaux et les 2 000 milliards d’euros de dette publique qui menacent, à court terme, de faillite la Nation.
Il ne saurait évidemment être question pour nous, au moment où les faits nous donnent raison, où l’opinion publique se dessille et où nos adversaires tentent de s’emparer du problème sans pour autant y apporter de réponses, d’abandonner notre programme ni de lui en substituer un autre. La mise en oeuvre d’une politique réaliste d’inversion des flux migratoires demeure pour le Front National une priorité comme doit l’être, une fois réalisé le préalable de l’arrêt de toute nouvelle immigration, la mise en oeuvre d’une nécessaire politique d’assimilation de ceux qui respectent nos lois et nos coutumes, acceptent les devoirs qui découlent des droits accordés, et considèrent la France comme leur Patrie, à l’exception de toute autre.
B) MESURES
Nos propositions tiennent donc en cinq grands volets
1. Mettre en oeuvre une politique de dissuasion :
- Supprimer les « pompes aspirantes » en réservant les aides sociales diverses et les allocations familiales aux seuls Français et en réinstaurant, dans le cadre de nouvelles dispositions législatives, la préférence nationale pour les prestations sociales. Les cotisations de l’assurance Maladie et de l’assurance Chômage seront, ainsi, augmentées pour les étrangers à prestations équivalentes. Le RMI pour les étrangers ainsi que l’AME seront supprimés.
Gain estimé : 18,5 milliards d’euros
- Lancer une réforme du droit de la nationalité, en supprimant notamment la binationalité et l’acquisition automatique de la nationalité (celle-ci ne serait alors automatique que si l’on est de père ou de mère français). L’acquisition dépendrait alors de critères reposant sur la bonne conduite et le degré d’intégration. La déchéance de la nationalité pourra être prononcée par la juridiction concernée dans le cas de naturalisation acquise depuis moins de 10 ans et dans le cas de crime ou délit grave ayant entraîné une condamnation à plus de 6 mois de prison, non assortie de sursis.
2. Mettre en oeuvre une politique de contrôle des frontières :
- Rétablir nos frontières en sortant de l’espace Schengen et en dénonçant les traités qui transfèrent à l’Union européenne les compétences en matière d’immigration, de droit d’asile et de visa.
- Faire appliquer les mesures d’éloignement du territoire et la législation sur le séjour illégal des étrangers ; tolérance zéro pour les réseaux organisés d’immigration clandestine.
3. Mettre en oeuvre une politique de retour :
Gain estimé : 9 à 11 milliards d’euros
- Supprimer le regroupement familial qui, depuis 1974, a transformé l’immigration de travailleurs en immigration de peuplement.
- Réduire la durée de la carte de séjour de 10 à 3 ans, y compris pour ceux qui se trouvent actuellement sur notre territoire.
- Rétablir l’expulsion des délinquants multi récidivistes étrangers.
4. Mettre en oeuvre une politique de codéveloppement :
- Coupler le retour des immigrés avec l’aide à leur pays d’origine, proportionnelle à leur coopération en la matière. L’aide au développement pourrait alors être accrue en ciblant mieux les besoins des populations et en contrôlant l’utilisation des fonds.
- Prendre l’initiative d’organiser régulièrement une conférence euro-africaine réunissant les pays concernés afin de déterminer les besoins et de mettre en oeuvre les moyens destinés à fixer les populations attirées par les richesses de l’Europe, dans leurs pays d’origine.
5. Mettre en oeuvre une politique d’assimilation :
- Insertion de la politique d’immigration dans un cadre plus global. On ne s’assimile pas à un pays qui a oublié ses principes, ses valeurs et sa fierté. La politique qui sera initiée par le Président d’une République authentiquement nationale sera globale : c’est par le retour des valeurs familiales, la reconstruction d’une véritable instruction nationale, le rétablissement d’un service militaire volontaire de six mois, le respect du travail et le réapprentissage de la morale et de ce qui a fait l’histoire de France, que pourra s’opérer une réelle assimilation, avec les droits et les devoirs qu’elle implique.
- Refus du communautarisme et réaffirmation du principe de laïcité. Le principe de discrimination positive (préférence étrangère dans les faits) et ses effets pervers tels que certains volets de la Politique de la Ville seront supprimés.
Gain estimé : 3 milliards d’euros
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