Saturday, February 24, 2007

Prataria "crioula" argentina

Para a biblioteca do Misantropo
Para o "mulled wine" do Je Maintiendrai


Para os "tornedos" do Combustões


Para os mates do Casa de Sarto

Para os banquetes do Jansenista

Para as "bicas" do Último Reduto

Thursday, February 22, 2007

Um basta à imigração-invasão

Para uma Europa que corre a suicidar-se - e com o Portugal "bom aluno" a querer estar na vanguarda - recomenda-se uma vista d'olhos no capítulo "Imigração", do programa desta agrupação "maldita" pela partidocracia antinacional francesa, o Front National de Le Pen. Para o texto completo do manifesto, ver aqui.


IMMIGRATION


A) CONSTAT


À l’origine de la plupart des maux dont souffre notre pays, la politique d’immigration menée depuis plus de trente ans par les gouvernements successifs a été constamment dénoncée par le Front National qui, dès sa création, a proposé toute une série de mesures qui n’ont en aucune manière cessé d’être d’actualité, et constituent l’un des fondamentaux de notre projet global.


Longtemps considérée comme « tabou », la question des flux migratoires est désormais considérée comme centrale par l’ensemble des observateurs économiques et politiques. Le mur du silence et du mensonge se fissure, même si l’opacité demeure la règle, en matière de surcoût et de statistiques de la délinquance, par exemple. C’est ainsi que la Cour des comptes relevait dans un rapport thématique publié en 2004 que « toute évaluation paraît impossible. Même le Parlement ne peut disposer d’éléments certains. Aucun ministère n’évalue précisément les dépenses qu’il effectue en faveur de l’accueil et de l’intégration des immigrants.»


L’ampleur des phénomènes induits par cette politique et l’accélération constatée ces dernières années apparaissent cependant très nettement en quelques chiffres qu’il convient de rappeler :


- 6 millions : c’est le nombre des nouveaux résidents installés en France depuis 20 ans (et non pas deux millions comme le prétendait, il y a peu de temps encore, l’INSEE).


- 400 000 à 500 000 : c’est le nombre officiel de nouveaux immigrés qui entrent chaque année sur le territoire national dont 300 000 en situation « régulière » selon l’OCDE.


- 40 millions : c’est le nombre d’immigrés extra-communautaires vivant sur le sol européen, selon un rapport du Parlement européen.


- 60 milliards d’euros : c’est le montant du déficit annuel dû à l’immigration si l’on se réfère à l’actualisation 2005 du rapport Milloz, jamais réellement contredit.


- 700 millions d’euros : c’est le coût annuel de l’Aide médicale d’État (AME) réservée auxétrangers en situation illégale.


- 25 % : c’est le taux moyen annuel de la population étrangère en milieu carcéral, un taux qui avoisine probablement les 70 % si l’on prend en compte toute la population d’origine immigrée.


- 5 % : c’est le taux d’étrangers qui entrent en France avec un contrat de travail, ce qui signifie que 95 % entrent sans.


- 50 % des bénéficiaires du RMI sont étrangers.


L’immigration est aujourd’hui d’origine planétaire. Elle peuple la France d’ayants droit pour qui, bien souvent, la seule affinité avec notre pays se limite aux avantages matériels qu’il leur procure. Cette immigration est poussée par le grand patronat pour qui elle est une délocalisation à domicile qui lui permet de compresser les coûts salariaux, et par la classe politique qui y voit une clientèle électorale facile. Aujourd’hui, les Français s’endettent pour financer des prestations sociales visant à répondre à la « misère du monde », avec pour conséquence les déficits permanents des comptes sociaux et les 2 000 milliards d’euros de dette publique qui menacent, à court terme, de faillite la Nation.


Il ne saurait évidemment être question pour nous, au moment où les faits nous donnent raison, où l’opinion publique se dessille et où nos adversaires tentent de s’emparer du problème sans pour autant y apporter de réponses, d’abandonner notre programme ni de lui en substituer un autre. La mise en oeuvre d’une politique réaliste d’inversion des flux migratoires demeure pour le Front National une priorité comme doit l’être, une fois réalisé le préalable de l’arrêt de toute nouvelle immigration, la mise en oeuvre d’une nécessaire politique d’assimilation de ceux qui respectent nos lois et nos coutumes, acceptent les devoirs qui découlent des droits accordés, et considèrent la France comme leur Patrie, à l’exception de toute autre.


B) MESURES


Nos propositions tiennent donc en cinq grands volets


1. Mettre en oeuvre une politique de dissuasion :


- Supprimer les « pompes aspirantes » en réservant les aides sociales diverses et les allocations familiales aux seuls Français et en réinstaurant, dans le cadre de nouvelles dispositions législatives, la préférence nationale pour les prestations sociales. Les cotisations de l’assurance Maladie et de l’assurance Chômage seront, ainsi, augmentées pour les étrangers à prestations équivalentes. Le RMI pour les étrangers ainsi que l’AME seront supprimés.


Gain estimé : 18,5 milliards d’euros


- Lancer une réforme du droit de la nationalité, en supprimant notamment la binationalité et l’acquisition automatique de la nationalité (celle-ci ne serait alors automatique que si l’on est de père ou de mère français). L’acquisition dépendrait alors de critères reposant sur la bonne conduite et le degré d’intégration. La déchéance de la nationalité pourra être prononcée par la juridiction concernée dans le cas de naturalisation acquise depuis moins de 10 ans et dans le cas de crime ou délit grave ayant entraîné une condamnation à plus de 6 mois de prison, non assortie de sursis.


2. Mettre en oeuvre une politique de contrôle des frontières :


- Rétablir nos frontières en sortant de l’espace Schengen et en dénonçant les traités qui transfèrent à l’Union européenne les compétences en matière d’immigration, de droit d’asile et de visa.


- Faire appliquer les mesures d’éloignement du territoire et la législation sur le séjour illégal des étrangers ; tolérance zéro pour les réseaux organisés d’immigration clandestine.


3. Mettre en oeuvre une politique de retour :


Gain estimé : 9 à 11 milliards d’euros


- Supprimer le regroupement familial qui, depuis 1974, a transformé l’immigration de travailleurs en immigration de peuplement.


- Réduire la durée de la carte de séjour de 10 à 3 ans, y compris pour ceux qui se trouvent actuellement sur notre territoire.


- Rétablir l’expulsion des délinquants multi récidivistes étrangers.


4. Mettre en oeuvre une politique de codéveloppement :


- Coupler le retour des immigrés avec l’aide à leur pays d’origine, proportionnelle à leur coopération en la matière. L’aide au développement pourrait alors être accrue en ciblant mieux les besoins des populations et en contrôlant l’utilisation des fonds.


- Prendre l’initiative d’organiser régulièrement une conférence euro-africaine réunissant les pays concernés afin de déterminer les besoins et de mettre en oeuvre les moyens destinés à fixer les populations attirées par les richesses de l’Europe, dans leurs pays d’origine.


5. Mettre en oeuvre une politique d’assimilation :


- Insertion de la politique d’immigration dans un cadre plus global. On ne s’assimile pas à un pays qui a oublié ses principes, ses valeurs et sa fierté. La politique qui sera initiée par le Président d’une République authentiquement nationale sera globale : c’est par le retour des valeurs familiales, la reconstruction d’une véritable instruction nationale, le rétablissement d’un service militaire volontaire de six mois, le respect du travail et le réapprentissage de la morale et de ce qui a fait l’histoire de France, que pourra s’opérer une réelle assimilation, avec les droits et les devoirs qu’elle implique.


- Refus du communautarisme et réaffirmation du principe de laïcité. Le principe de discrimination positive (préférence étrangère dans les faits) et ses effets pervers tels que certains volets de la Politique de la Ville seront supprimés.


Gain estimé : 3 milliards d’euros

Monday, February 19, 2007

Defraudação

Julguei que um milagre da Providência permitiria que o casebre de Salazar em Santa Comba pudesse ser transformado num museu. Anunciada a boa nova, louvei a iniciativa e comecei a juntar os meus pobres pesos desvalorizados para ver se conseguia enviar uma contribuição minimamente razoável em pujantes euros. Pensei até em legar ao dito museu a minha modesta - mas lindamente encadernada - salazariana, além de outros ítens de memorabilia que fui juntando ao longo do tempo. Agora descubro que a casa-museu, caso vá adiante, incluirá "um espaço dedicado à luta antifascista sobre pessoas que foram perseguidas, presas e torturadas pelo antigo regime." Mas que palhaçada é essa? E a família de Salazar? A doar o terreno e a casa, a disponibilizar documentos e objectos - aceita que se injurie a memória do estadista? Muito estranho... Será que um museu do camarada Barreirinhas contaria com uma ala dedicada à luta anticomunista? Ou alguma referenciazinha aos mais de cem milhões de mortos às mãos da ideologia e do regime que o Alvinho tão empenhadamente serviu? Será que na milionária e luxuosa fundação do milionário e luxuoso pluridoutor honorário e descolonizador exemplar, haverá algum espaço dedicado aos milhões de mortos e outros tantos flagelados resultantes da sua exemplaríssima acção ultramarina? Quase a imitar o Gulbenkian, vou mais é seguir o Antenor Patiño: para "este" Portugal não irá um nadinha meu. Quando é que essa cáfila nos vai deixar em paz?

Thursday, February 15, 2007

Portugal "moderno"

Diziam as mentes muito sofisticadas que Portugal, para ser moderno, teria que desvencilhar-se do Trono e do Altar - e assim foi feito. Diziam os bem-pensantes que Portugal, para ser moderno, teria de "partir-se em partidos" e viver em permanente clima de guerra civil. Diziam os arautos da evolução que Portugal, para ser moderno, deveria ter o "bem" e o "mal" definidos pela aritmética. Diziam as criaturas muito evoluídas que Portugal, para ser moderno, teria de livrar-se de gentes e terras que eram parte integrante do corpo nacional, entregando-as ao comunismo soviético, ao custo do sangue de milhões de inocentes. Diziam os solícitos luminares que Portugal, para ser moderno, deveria abdicar da sua soberania e diluir-se em algo que dá pelo nome de União Europeia. Diziam incontáveis sumidades que Portugal, para ser moderno, deveria proceder à liquidação da agricultura, das pescas, da indústria. Diziam os de inteligência muito afiada que Portugal, para ser moderno, deveria reger-se segundo os interesses dos outros países. Diziam os de mentalidade muito evoluída que Portugal, para ser moderno, deveria liberar a tortura e a execução dos nascituros, inocentes e indefesos. E assim tem sido feito: com empenho, alegria e a certeza de um serviço bem prestado. Falta muito pouco para a plenitude.

Friday, February 09, 2007

NÃO

Referendos, plebiscitos, eleições, soberania popular, vontade da maioria, sufrágio universal, etc. Há um par de milénios um sufrágio decidiu a tortura e a morte de Deus feito Homem. Em Portugal, este Domingo, querem que 50% + 1 decidam que é certo torturar e matar uma pequena vida humana, inocente e indefesa. "Democracia" é isto, dizem. Que os portugueses não façam Cristo chorar. Que na Terra de Santa Maria não se admita o mais hediondo dos crimes. Domingo 11: NÃO - para que os cegos vejam e os surdos ouçam.

Sugestão de leitura

Para quem quiser conhecer a génese da guerrilha marxista na Argentina e como, desde o Estado, gestou-se o seu aniquilamento. Em tempos de révanche vermelha, impregnada com o ódio do derrotado e a hipocrisia dos mentirosos, é bom que se conte a história integral, não a hemiplégica. Nomes, factos, documentos, testemunhos - a verdade incómoda, pois impossível de refutar. Pela pena de Juan Batista "Tata" Yofre - jornalista, escritor, antigo elemento do BID e da OEA, ex-chefe da Secretaría de Inteligencia del Estado, ex-Secretário de Estado, ex-Embaixador em Portugal (1992).

Do insuspeito Ernesto Sábato:

"La inmensa mayoría de los argentinos rogaba por favor que las Fuerzas Armadas tomaran el poder. Todos nosotros deseábamos que se terminara ese vergonzoso gobierno de mafiosos."

Do insuspeito Le Monde:

"... rara vez un golpe de estado ha sorprendido tan poco... la intervención militar era deseada por grandes sectores de la opinión."

Do insuspeito New York Times:

"[Los militares argentinos] merecen respeto por su patriotismo, al tratar de salvar un barco que se hunde. El fin del gobierno civil, normalmente un hecho lamentable, era en este caso una bendición."

Sunday, February 04, 2007

Sem papas na língua

O texto definitivo sobre a questão do aborto. Em pena elegante, sem meias palavras, frontal - na defesa da vida incocente. É Paulo Cunha Porto que regressa com força no seu grande estilo.

Friday, February 02, 2007

Recordar Gonzague de Reynold

Porfirio Rubirosa

Já não se fazem mais playboys, gigolos e bon vivants como antigamente.

Kirchner x Perón

Kirchner que jamais foi peronista, mas fez carreira e fortuna como tal, pretende agora fazer o julgamento de Perón. Já andam a pedir a prisão preventiva e a extradição da viúva do general, residente em España. A acusação é a formação de um esquadrão da morte clandestino e para-estatal, a Triple A, que entre 73 e 76 andou a executar comunistas e afins. Aposta alto o malcriado presidente soixantehuitard. É mais uma vingançazinha do rapazola que nos anos 70 nunca fez mais do que emporcalhar umas paredes e gritar numas "assembleias" de cabeludos, mas agora quer armar-se em guerrilheiro montonero. Mas o caramelo está cheio de caroço e numa sociedade absolutamente corrompida manda quem paga mais. Dizem que mexer num mito pode ser como mexer num vespeiro. Vamos lá ver... Alguns peronistas da velha guarda com quem tive o ensejo de conversar mostraram-se absolutamente indignados com o atrevimento do sujeitinho. Não há dúvida de que Kirchner cruzou o Rubicão.

Thursday, February 01, 2007

Ódio à vida


A actual "batalha" à volta do aborto dá a justa medida da estrutura mental da vanguarda que defende a sua livre prática. Considerando-se a goela colectiva da sociedade, estão sempre a gritar e a espernear na defesa do povo, dos seus direitos, da sua liberdade, da sua felicidade - da velha "marcha progressista da história". Mas são eles a autoridade exclusiva que fixa os critérios de definição destes direitos, desta liberdade e desta felicidade. São os remanescentes ou os herdeiros - incluindo órfãos e viúvos - de uma família ideológica que demonstrou sobejamente que para construir o seu "mundo novo" havia que forjar um "homem novo" a qualquer custo. E este seria obtido por várias vias, sobretudo a través da eliminação física do "homem velho" - de muitos milhões deles. Na construção deste "mundo novo" e deste "novo homem" a relativização da vida humana chega ao seu ponto cimeiro. Se é obstáculo, elimina-se, esteja onde estiver, seja como for. Para estes arautos dos "amanhãs que cantam", das "liberdades", "igualdades" e "fraternidades", a vida humana está longe de ser um fim em si mesmo - é simples instrumento. Mudam-se os tempos, as modas e os processos, mas a natureza da "besta" continua a mesma.

Neste dia 1 de Fevereiro quero aqui registar a minha homenagem a El-Rei D. Carlos I e a SA D. Luís Filipe, assassinados no Terreiro do Paço pelo ódio ao Altar e ao Trono, "escola" dos males que afligiram e continuam a afligir a humanidad.

Sobre os meandros do ignominioso crime não perder os seis posts no Combustões.